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(Alexandre D’Astous)-Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) du Bas-Saint-Laurent rapporte un nouveau cas positif de la COVID-19 dans la région ce mardi, pour un total de 413 depuis le début de la pandémie, le 12 mars.
De ce nombre, 379 personnes sont considérées comme rétablies, une hausse de six. Si on ajoute les sept décès, il reste donc 29 cas actifs du coronavirus présentement au Bas-Saint-Laurent, une diminution de cinq.
Le nouveau cas provient de la MRC de Rimouski-Neigette. À noter qu’un cas initialement comptabilisé au Kamouraska a été transféré dans la MRC de Rivière-du-Loup. La MRC des Basques compte toujours 10 cas depuis le début de la pandémie. Les deux derniers remontent à plus de sept jours. La région compte toujours six hospitalisations en lien avec la pandémie.
Il y a eu 451 dépistages effectués dans la journée de lundi. Aucun nouveau cas pour l’éclosion au Centre hospitalier du Grand-Portage à Rivière-du-Loup qui demeure à 20 cas. La situation fait l’objet d’une étroite vigie. Aucun nouveau cas non plus en ce qui a trait à l’éclosion à l’Hôpital régional de Rimouski qui demeure à trois cas. La situation fait aussi l’objet d’une étroite vigie.
L’éclosion à la résidence du Havre de La Fontaine de Rivière-du-Loup est officiellement terminée.
Tour d’horizon des Basques
Le député de Rivière-du-Loup–Témiscouata, Denis Tardif, se joint aux préfets des MRC de Rivière-du-Loup, de Témiscouata et des Basques afin de lancer une campagne publicitaire conjointe contre la COVID-19 dans les prochaines semaines.
Des allègements envisagés
Le premier ministre du Québec, François Legault, a laissé entendre lors de son point de presse de ce mardi que le gouvernement envisage d’alléger certaines restrictions, notamment pour des raisons de santé mentale, dès que les statistiques sur les cas et les hospitalisations le permettront.
M. Legault invite notamment les Québécois à rendre visite aux gens seuls de leur entourage, une personne à la fois. « On veut protéger nos jeunes. Présentement, seulement 3% des jeunes ne sont pas en classe. C’est aussi pour cela qu’on a voulu autoriser l’Halloween. Nous sommes conscients que c’est plus difficile pour nos étudiants de cégep et d’universités qui ne vont plus du tout en classe depuis plusieurs semaines. Nous sommes en train de regarder si on ne pourrait pas leur permettre de venir en classe occasionnellement. Nous sommes aussi conscients que le sport-études est primordial dans la vie de plusieurs jeunes. On regarde ça aussi ».
