(Alexandre D’Astous)-L’accès à Internet haute vitesse partout en région est nécessaire plus que jamais. Le travail à la maison, le fonctionnement des entreprises et l’école à distance renforcent plus que jamais le besoin d’avoir des services de qualité et accessibles, peu importe la région dans laquelle on vit.
L’opposition officielle a pris acte, aujourd’hui, de la demande de la Fédération québécoise des municipalités (FQM) au gouvernement et nous l’appuyons, d’autant qu’il en va de la réalisation de l’un des principaux engagements de la CAQ envers les régions.
Selon les porte-paroles du PLQ en matière de PME et d’Innovation et d’Affaires municipales, Monsef Derraji et Marie-Claude Nichols, la CAQ doit mettre de côté ses chicanes avec le gouvernement fédéral et aller de l’avant. Il est temps de régler une fois pour toutes ce problème au bénéfice des citoyens et des citoyennes qui habitent nos villes et nos villages.
«?Nous savons que ce n’est pas un chantier simple que de brancher le Québec, mais le gouvernement caquiste doit livrer sa promesse, soit, que tout le monde soit branché à Internet haute vitesse en 2022. François Legault doit être transparent avec l’ensemble des régions en rendant public son échéancier pour chacun des endroits qui n’est toujours pas branché. La relance durable de notre économie passe par la réalisation de ces branchements, notamment pour assurer le développement de nos PME et du commerce en ligne », déclare Monsef Derraji.
«?J’appuie la demande de la FQM parue dans La Presse ce matin. Elle a raison de dire que les régions sont à bout de patience et qu’elles ne se contenteront plus de slogans ou de promesses électorales. La situation actuelle demande un effort considérable et une action concrète. La balle est dans le camp du gouvernement caquiste pour régler cette question et il doit agir rapidement », lance Marie-Claude Nichols, porte-parole de l’opposition officielle en matière d’Affaires municipales.
Photo: Marie-Claude Nichols, porte-parole de l’opposition officielle en matière d’Affaires municipales. (Photo Facebook)