(Alexandre D’Astous)-Le député fédéral de Rimouski-Neigette – Témiscouata – Les Basques, Maxime Blanchette-Joncas, confirme avec plaisir que plus de 250 projets créeront près de 300 emplois dans Rimouski-Neigette – Témiscouata – Les Basques d’ici à février 2022, au terme du processus de sélection d’Emplois d’été Canada (EEC).
Soixante-dix entreprises et organisations de plus qu’en 2020 en bénéficieront, pour autant de postes supplémentaires. Qui plus est, alors que le budget de l’an dernier dépassait celui de l’année précédente de 160 000 $, l’enveloppe compte sur une augmentation de presque 100 000 $ de plus en 2021-2022, pour un total de près d’1 M$. « Nous avons reçu un nombre impressionnant de propositions, toutes plus pertinentes les unes que les autres. Je salue d’ailleurs le travail de toutes les organisations qui nous les ont soumises. Ce n’est évidemment pas étranger au fait que le Bloc Québécois a nettement fait entendre sa voix pour obtenir davantage de budgets pour le programme », souligne M. Blanchette-Joncas.
Tant les secteurs public, privé, municipal et de l’économie sociale profiteront de ces sommes, qu’il s’agisse de petits commerces, d’organisations de promotion économique, touristique ou culturelle, d’entreprises agricoles, d’organismes consacrés à la protection de l’environnement, aux jeunes ou aux personnes âgées.
« Compte tenu de la situation hors du commun provoquée par la pandémie, j’ai cherché à soutenir le plus de gens possible », explique le député de Rimouski-Neigette – Témiscouata – Les Basques.
Un rôle primordial
Le député bloquiste met en évidence le rôle primordial d’EEC pour nombre de jeunes : « Quand ce n’est pas pour acquérir une expérience dans leur future carrière, les jeunes participants peuvent expérimenter un travail qui les guidera peut-être dans leur choix. Aussi, il s’agit parfois pour nombre d’entre eux d’une première expérience en milieu de travail, qui deviendra à coup sûr déterminante pour leur parcours professionnel. »
« Je souhaite bonne chance à tous les jeunes qui maintenant postuleront ces emplois. Que les mois qui viennent leur apporte l’énergie pour, je l’espère, reprendre le collier! », conclut Maxime Blanchette-Joncas.
Photo : La propriétaire de Viv-Herbes de Lejeune, Chantal Dufour, et Maxime Blanchette-Joncas. (Photo courtoisie)