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(Alexandre D’Astous)-Picbois Productions et Télé-Québec présentent la deuxième saison de la série Décoloniser l’histoire en ouverture de la prochaine édition du Festival Courts d’un soir.
La projection en primeur de six épisodes aura lieu le 12 avril à 19 h à l’Amphithéâtre du Coeur des Sciences de l’UQAM en présence de l’équipe, et sera suivie d’une discussion animée par Gaëlle Essoo, rédactrice en chef de Futur et Médias, la plateforme éditoriale du Fonds des médias du Canada.
La série intégrale sera ensuite disponible dès le 13 avril sur video.telequebec.tv et sur l’application Télé-Québec. Réalisée par Francis Papillon et produite par Karine Dubois (Picbois Productions), la série retrouve Vanessa Destiné et Youssef Shoufan à l’animation et y accueille Aïcha Bastien-N’Diaye.
Chapitres méconnus de l’histoire québécoise
Cette seconde saison propose de nouvelles capsules mettant en lumière des chapitres méconnus de l’histoire québécoise. S’appuyant sur une recherche fouillée et l’expertise d’un grand nombre d’experts reconnus, les premiers épisodes dévoilés traiteront des déplacements forcés des Naskapis, des Opérations Dignité contre la fermeture de villages en Gaspésie, de la rafle des enfants autochtones au Québec, du mouvement McGill français, du débat sur la laïcité de l’État ainsi que de la lutte des aides domestiques.
Rappelons que la première saison de Décoloniser l’histoire a connu un impressionnant succès populaire et critique. La série a récolté pas moins de sept distinctions à ce jour, dont le Grand Prix Série Courte au Festival Courts d’un soir en 2021. Elle a su se démarquer au Québec comme à l’international, prouvant que les sujets qu’elle traite résonnent partout dans le monde.
La série est produite en collaboration avec Télé-Québec et avec la participation financière du Fonds des médias du Canada, du Fonds Bell, du Crédit d’impôt cinéma et télévision (Gestion SODEC) et du Crédit d’impôt pour production cinématographique ou magnétoscopique canadienne.
Photo : La série retrouve Vanessa Destiné et Youssef Shoufan à l’animation et y accueille Aïcha Bastien-N’Diaye. (Photo courtoisie)
