(Alexandre D’Astous)-Réagissant au rapport préélectoral de la Vérificatrice générale du Québec, la Coalition pour la dignité des aînés ne peut passer sous silence les besoins criants en investissements publics qui demeurent pour garantir à chaque personne aînée du Québec la dignité à laquelle elles ont droit.
Forte de son regroupement de six associations nationales
représentant plus de 150 000 personnes aînées, la Coalition entend tout faire
en son possible pour que les priorités des aînés du Québec ne soient pas
laissées dans l’ombre pendant la campagne électorale à venir.
Maintien à domicile, soins adaptés, pénurie de main-d’oeuvre au sein du réseau
de la santé, crise du coût de la vie et isolement social : les enjeux auxquels
font face les aînés du Québec sont nombreux, et les porte-paroles de la
Coalition pour la dignité des aînés plaident que tous devraient s’en
soucier.
Garantir la dignité à tous
« Les enjeux des aînés ne se limitent pas aux problèmes découlant de la pandémie. On parle de garantir la dignité à tous, pour toute la vie » affirme M. Paul-René Roy, président de l’Association québécoise des retraité(e)s des secteurs public et parapublic (AQRP) et l’un des porte-paroles de la Coalition. « Le rôle de notre Coalition, dans un moment d’attention comme le dépôt d’un rapport de la Vérificatrice générale ou une campagne électorale, c’est de rappeler à nos concitoyens que vivre, c’est aussi vieillir, et donc que les enjeux des aînés seront un jour les leurs », renchérit M. Roy.
Fondée en juin 2020, la Coalition pour la dignité des aînés est un regroupement de six associations nationales représentant plus de 150 000 personnes aînées et constituant un interlocuteur privilégié pour les dossiers qui touchent et qui rejoignent les préoccupations des aînés du Québec. Les États généraux sur les conditions de vie des aînés organisés par la Coalition le 3 mai dernier furent une première historique au Québec, où plus de 90 personnes issues de 45 organisations se sont réunies afin de prioriser des solutions pour garantir à toutes les personnes aînées la dignité à laquelle elles ont droit.
« On a un déficit qui est passé de 6,1 G$ à 700 M$. Avec une telle marge de manœuvre, on peut faire plus et faire mieux pour les aînés du Québec. Quiconque dit le contraire ne constate pas l’ampleur du défi mis en lumière par la pandémie » conclut M. Roy.
Un débat sur la question
Sur le thème Vivre, c’est aussi vieillir. Un débat sur la bientraitance des
aînés au Québec, la Coalition a invité les porte-paroles des partis politiques
représentés à l’Assemblée nationale à venir faire part des propositions de leur
formation politique à ce débat prévu le 6 septembre, de 13h30 à 15h, au Centre
d’Évènements et de Congrès Interactifs (CECi) de Trois-Rivières. L’animation du
débat sera assurée par Simon Bourassa, correspondant parlementaire à Québec
pour Noovo Info.
Photo : Paul-René Roy (Photo courtoisie AQRP)
mais quand une augmenttion de la pension sans baisser le régime des rente etc ont est pas tous malade ont demeure dans des logement de plus en plus chère de $900.00 et plus et une pension de $666 par mois pas par semaine ils ont donner la pcu à $500 par semaine à des jeunes qui travaillais à temps partiel tout est illogique toujours donner plus au Famille aux congées parentaux qu’Ils prendre 6 mois mois après L,accouchement pour un voyage ou autre pas pour aider la mère même si le père gagne $100.000 et plus ou est la logique quand je suis après bientôt me ramasser dans la rues
vous avez très bien raison, car on ne vie plus on existe seulement ,ses comme on reste dans un logement et le gouvernement nous donne $15.23 par mois ,il nous donnais $300.00 en résidence ses pas juste car on est beaucoup mieux présentement car il y en a des résidence qui ambitionne sur nous, voilà notre expérience en résidence qui na pas personne pour vérifier comment cela fonctionne.