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Le député Tardif s’implique dans le dossier des salons de quilles

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(Alexandre D’Astous)-Dans le dossier de l’ouverture des salons de quilles dans la région, le député de Rivière-du-Loup-Témiscouata, Denis Tardif considère qu’il a toujours été présent et qu’il continuera d’écouter le milieu des affaires afin de toujours mieux les représenter auprès des ministères et du département de la Santé publique.

Le bureau du député signale que bien qu’au final la décision soit celle du gouvernement, celle-ci est très fortement influencée par les recommandations du département de la Santé publique. Depuis le début de la pandémie, le gouvernement de la CAQ écoute les recommandations faites par le bureau du docteur Arruda afin de protéger les Québécois et mieux traverser cette pandémie.

«?Mon principal rôle est de représenter les gens de la circonscription afin que les cabinets et l’administration des ministères entendent les commentaires et les demandes des intervenants locaux. Je prends ce rôle très au sérieux et malheureusement, dans certains dossiers, nous ne pouvons obtenir gain de cause. Malgré ça, nous continuons de travailler sur chacun des dossiers qui nous sont présentés », assure Denis Tardif.

Prêt à organiser une rencontre

Le député et son équipe ont communiqué à plusieurs reprises avec M. Ruest-Lajoie et M. Rossignol afin de comprendre leurs demandes au cours des derniers mois. D’ailleurs, le député est ouvert à organiser une rencontre rapidement avec les propriétaires de salon de quille afin de remettre ce dossier sur le dessus de la pile. Il faut cependant être réaliste, malgré des pressions politiques, économiques ou médiatiques, si la santé publique n’est pas en accord avec la proposition, elle n’a que très peu de chance d’être acceptée.

«?Nous avons vécu une situation similaire avec les barrages routiers dans la région. Malgré nos demandes au CISSS, au ministère de la Sécurité publique et à la demande formelle du conseil des maires de la MRC du Témiscouata, la Santé publique ne recommande pas l’implantation des barrages routiers. C’est pourquoi nous avons recommandé aux entrepreneurs vivants des difficultés avec les nouvelles normes sanitaires de contacter la Santé publique régionale plus tôt cette semaine.?» de conclure M. Tardif.

Photo: Le député Denis Tardif. (Photo courtoisie)

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