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Un deuxième EP pour Marjolaine Morasse

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(Alexandre D’Astous)- L’autrice-compositrice et interprète Marjolaine Morasse présente son deuxième EP “On se déracine” qui est paru vendredi sous étiquette UniForce Pro.

Pour souligner cette sortie, un lancement en formule virtuelle est prévu en collaboration avec l’Adisq, diffusé en exclusivité le 10 février avec la plateforme Rampe de lancement. Marjolaine sera accompagnée sur scène des musiciens Simon Godin, Alexis Martin, Stéphane Bergeron, Guillaume Marchand, Yves Labonté, Fred Labrie, Élie Dupuis et de Geneviève Jodoin aux chœurs.
 
Après avoir tricoté ses Chansons de laine en 2018, qu’elle promène depuis aux quatre coins de la Francophonie canadienne, et une année de création à l’École nationale de la chanson (cohorte 2019), Marjolaine dévoile “On se déracine”, un EP de cinq chansons alliant les sonorités pop-folk-rock.


Sensibilité, fougue et authenticité

Entre l’écho des grands espaces et la poésie des murs de son appartement, Marjolaine Morasse fabrique du beau et du vrai. Elle expose avec sensibilité, fougue et authenticité les relations humaines et leur complexité, met en relief les émotions à fleur-de-peau, pour comprendre, pour questionner, pour faire sens.
 
“On se déracine” est un retour aux grands espaces et aux paysages du Nord-du-Québec qui l’ont vu grandir. Entre une enfance à Chapais et Chibougamau, de la parenté établie en Abitibi et une vie d’adulte sur la Rive-Sud de Montréal,  Marjolaine a cherché à retrouver et comprendre ses racines. Une quête de soi qu’elle transpose en mots et en musique, qui lui ont permis d’embrasser le déracinement, pour mieux s’enraciner de nouveau ailleurs.


Comprendre d’où elle vient

« J’ai voulu comprendre d’où je viens, ce qui m’a forgée, de quoi je suis faite. Savoir si c’est vrai qu’il faut comprendre les avants pour mieux vivre les après. Et comme le plus gros des clichés, j’ai marché, en faisant le chemin Compostelle de mes états. Marché à la rencontre des autres, des paysages, des villes et villages, des kilomètres qui me constituent, qui me dessinent. Je croyais marcher vers moi : j’ai marché avec moi », commente l’artiste.



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