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Amélie Dionne dévoile ses trois premières priorités en matière de développement économique régional

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(Alexandre D’Astous)-En marge de la Grande rentrée entrepreneuriale qui avait lieu jeudi à Rivière-du-Loup, la candidate de la Coalition Avenir Québec dans Rivière-du-Loup-Témiscouata (incluant Les Basques), Amélie Dionne, a profité de la visite de la candidate dans Louis-Hébert et vice-première ministre du Québec, Geneviève Guilbault, pour dévoiler ses engagements en matière de développement économique régional.

La candidate veut bien sûr s’attaquer de front à des problématiques comme le manque de logements, la pénurie de main d’oeuvre et le manque de places en garderie, et c’est pourquoi ces enjeux ont fait l’objet d’importantes annonces depuis le début de la campagne. « Il est clair que nos propositions en matière de logement, de main d’oeuvre et de places en garderies auront un impact direct sur la productivité de nos entreprises », dit-elle.

Un réseau cellulaire fiable

Amélie Dionne croit fermement qu’un Québec prospère passe par des régions prospères, et que cette santé économique repose largement sur un réseau de communication efficace. L’engagement de compléter le réseau cellulaire au Québec d’ici 2026 lui tient donc particulièrement à coeur. Selon elle, cela répondra non seulement aux besoins pressants des citoyens et des entreprises de la région, mais plus largement à un enjeu de sécurité publique.

« Nous sommes un parti qui a tenu ses promesses. Nous avions promis de connecter tous les foyers du Québec à internet haute vitesse et c’est ce que nous avons fait. J’ai donc confiance que nous saurons mettre en place un réseau cellulaire fiable à travers le Bas-Saint-Laurent. »

Soutenir nos agriculteurs et assurer notre autonomie alimentaire

« Notre gouvernement a octroyé une subvention à FabRégion Bas-Saint-Laurent, au cours du dernier mandat, pour faire un diagnostic de ce qui est consommé par les citoyens et de ce qui est produit localement, afin d’avoir un portrait clair de notre autonomie alimentaire et de fixer des cibles. La première FabRégion au Canada s’est ainsi engagée à atteindre 50 % d’autonomie alimentaire, énergétique et manufacturière d’ici 2054. Ce qu’on propose maintenant dans nos engagements électoraux, c’est de se donner les moyens d’atteindre cette cible », dit Amélie Dionne.

Elle est convaincue que l’investissement de 175 M$ supplémentaires dans des programmes consacrés à l’autonomie alimentaire ne pourront qu’être bénéfiques aux agriculteurs de la région.

Selon Amélie Dionne, la CAQ est le parti qui propose les moyens les plus concrets et les plus efficaces pour soutenir le milieu agricole :

– 50 millions de dollars supplémentaires pour aider environ 1225 entreprises de plus à adopter de meilleures pratiques agroenvironnementales ;

– 50 millions de dollars supplémentaires pour aider la relève à acquérir des terres agricoles ;

– Révision de la Loi sur les producteurs agricoles pour assurer un soutien plus équitable des petits producteurs.

– 21 millions de dollars pour la mise en place d’un programme agroalimentaire dans les écoles primaires du Québec

« L’agriculture est un important moteur de développement économique pour nos régions et particulièrement pour nos petites municipalités. Si on souhaite assurer une plus grande autonomie alimentaire pour la région et pour le Québec, il faut diversifier notre garde-manger, et la CAQ comprend que ça passe par un meilleur soutien aux petites entreprises et à la relève », affirme Amélie Dionne.

« Le Bas-Saint-Laurent peut devenir une référence en énergies propres »

Amélie Dionne a les yeux rivés sur l’objectif de carboneutralité d’ici 2050, et croit que sa circonscription peut jouer un rôle actif dans cette voie. « Cinq des onze projets soumis par le Bas-Saint-Laurent à Hydro-Québec pour la production d’énergie éolienne se trouvent dans ma circonscription, ce qui nous donne un positionnement stratégique dans nos ambitions de transition énergétique. Si je suis élue députée le 3 octobre, je me ferai un devoir d’accompagner ces projets qui pourraient devenir des moteurs de développement économique pour la région. »

Photo : Les candidates de la CAQ Amélie Dionne et Geneviève Guilbault. (Photo courtoisie)

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