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(Alexandre D’Astous)-Une semaine après le dévoilement du budget de l’an 1 d’un Québec souverain, les militants péquistes du Bas-Saint-Laurent ont eu la chance d’assister au Conseil national du Parti Québécois qui avait lieu à Saint-Hyacinthe.
L’événement mettait de l’avant les enjeux en matière d’éducation ainsi que l’impact du régime canadien sur la nation québécoise. C’est avec enthousiasme que les membres des conseils exécutifs du Bas-Saint-Laurent étaient au rendez-vous afin de faire valoir les besoins de notre région.
Les membres du Parti ont eu des échanges étoffés au sujet du système de l’éducation. Plusieurs invités comme Normand Baillargeon, Pauline Marois et Stéphane Vigneault ont permis d’éclaircir les éléments primordiaux qui seront à prioriser si nous souhaitons offrir un monde plus juste et équitable pour nos futures générations.
Les préoccupations des Québécois
« Notre formation politique se préoccupe de l’avenir de notre peuple, mais également des préoccupations quotidiennes des Québécois. Nous en avons fait la démonstration une fois de plus par la présentation du budget de l’an 1 et par la tenue de ce conseil national en abordant avec intelligence la thématique de l’éducation. C’est avec beaucoup convictions que les militants et les membres de l’aile parlementaire du Parti Québécois poursuivent leur travail », souligne Pascal Bérubé, député de Matane-Matapédia.
Les impacts négatifs du fédéralisme canadien
Parallèlement à la thématique de l’éducation, les délégués ont pris connaissance, pour la toute première fois, des travaux politiques sur le livre bleu. Ils ont échangé sur les impacts négatifs du fédéralisme canadien en matière de services publics, d’économie, d’environnement, d’identité, de langue et de culture.
Accueil de Pascal Paradis
Par ailleurs, c’est dans une ambiance festive que les membres ont pu accueillir leur 4e mousquetaire : Pascal Paradis. De plus, le Parti québécois a souligné la place prépondérante des femmes à la direction du Parti. Les postes de directrice générale, porte-parole nationale, présidente de la commission politique, cheffe de cabinet, présidente de la commission politique et directrice de l’organisation sont occupés par des femmes.
« Le PQ est déterminé à bâtir sur des bases solides un pays à sa couleur et considère que l’éducation doit être au coeur de nos priorités. C’est pourquoi il a la volonté d’investir massivement pour notre avenir, car l’éducation est la pierre angulaire de notre nation », déclare Vincent Couture, président du Parti Québécois de Rivière-du-Loup – Témiscouata.
Un projet d’éducation nationale de qualité
« L’avenir du Québec passe par un projet d’éducation nationale de qualité, accessible pour tous et réfléchi. La connaissance permet une démocratie fleurissante! Avec ces propositions, le Parti Québécois travaille à bâtir les bases d’un Québec pays et je suis fier de faire partie d’une organisation qui assume ses convictions », estime Samuel Ouellet, président de l’exécutif du Parti Québécois de Rimouski.
Photo : Une partie de la délégation du Bas-Saint-Laurent en compagnie de la présidente nationale, Catherine Gentilcore. (Photo courtoisie)
Photo: La direction féminine du Parti Québécois: Méganne Perry-Mélançon, Porte-parole nationale, Geneviève Péloquin, directrice de l’organisation, Camille Pellerin-Forget, Présidente de la commission politique, Génifère Legrand, Directrice générale, France Amyot, Directrice de cabinet du chef et Catherine Gentilcore, Présidente nationale. (Photo courtoisie)
Photo: Les députés, porte-parole et co-portes-parole. (Photo courtoisie)
