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(Alexandre D’Astous)-L’Association des chiropraticiens du Québec (ACQ) réagit positivement à la déclaration de la présidente du Conseil du trésor, Sonia Lebel, faite mardi lors de l’étude des crédits budgétaires.
Cette dernière a exprimé publiquement une ouverture à ce que les chiropraticiens soient inclus dans le grand projet de décloisonnement des professions en santé. Il s’agit de la première fois qu’une telle ouverture est verbalisée par un membre du gouvernement.
« Nous accueillons avec intérêt l’ouverture démontrée par la présidente du Conseil du trésor, Mme Sonia Lebel, à ce que les chiropraticiens soient inclus dans le grand projet de décloisonnement des professions en santé. Les chiropraticiens sont prêts à mettre l’épaule à la roue pour améliorer l’efficacité du réseau de la santé et la qualité des soins aux patients. À terme, un décloisonnement de notre profession permettrait d’améliorer les trajectoires de soins des patients souffrant de troubles neuromusculosquelettiques, dans le milieu hospitalier notamment, en favorisant un accès approprié et rapide aux services de santé adéquats. Les chiropraticiens détiennent les compétences nécessaires pour participer efficacement au triage, à l’évaluation et au traitement des patients aux prises avec des conditions neuromusculosquelettiques. La volonté du gouvernement de décloisonner la profession de chiropraticien est donc un pas dans la bonne direction qui doit maintenant se concrétiser, au plus grand bénéfice des Québécois », affirme la Dre Marie-Hélène Boivin, chiropraticienne et présidente de l’Association des chiropraticiens du Québec.
Photo : Marie-Hélène Boivin, chiropraticienne et présidente de l’Association des chiropraticiens du Québec. (Photo courtoisie)
